24 septembre

Il y'a 32 mois, 3 ans jour pour jour... vendredi 24 septembre 2010. Je fait sécher les cours, et je commence une nouvelle fanfiction (qui racontera... non trop de mauvais souvenirs) et un appel du collège bouleverse mon weekend de 3 jours, pour sur : Mr M***** préviens mon père que j'ai tagguer les chiottes du collège, évidemment ils me punissent d'écouter MSI (c'était pas si violent puisque j'avais encore mes images sur mon portable, et mon MP3 que je ne pouvais pas écouter) mais les emmerdes continuent pendant encore une semaine : Convocation le 30 septembre 2010 à 9h, où j'en ai bien bavé pendant une demi heure. Le soir du 30 septembre : plus rien, plus d'image, plus de songs, ma vie était foutue. Trois ans plûtard, rien ne change.
Le regret est toujours aussi présent, la nostalgie d'un temps où toute ma vie était un rêve, un si beau rêve... Aujourd'hui, elle ne ressemble qu'à des cendres, à attendre... Trois noël que j'attends un retour à la normal, voilà pourquoi je déteste si tant cette fête
Je crève de douleur, déjà trois putains d'années que ça dure... vous êtes des criminels, des meutriers. Vous avez gâchés la vie d'une enfant de 14 ans, maintenant l'adulte que je suis devenue est en rage, mon future est déjà tracé. Je me disais bien qu'en 2009, la vie était trop belle pour que ça continues... Rabat-joie. Un jour j'aimerais que la vie redeviennes comme en 2009, sans soucis, quand j'avais tout.

(cette photo, est un peu un symbole. Enfaite elle était, pendant 1 an et demi, sur mon classeur de français, de la fin 5ème à début 3ème)

(lolz )

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17h › Alors en rentrant, une grosse bouffée d'air frais, et au boulot. Façonnes-nous une belle sculpture. Plus facile à dire qu'à faire... mon souffle s'accélérait, j'avais du mal à faire tomber le gros morceau, j'en suis arriver à mes fins, celui-ci était verdâtre (je sais pas pourquoi, pourtant j'avais pas manger de légumes ?)
Alors je dors, je dit au revoir à la tante à ma mère, je mange et je me prépare mentalement, physiquement et penser à bien forcer pour tout évacuer. Les deux filles ont eu le temps de claquer les portes, de se faire gueuler dessus, pendant que moi, debout sur le trône, je fixais le coin de la porte et forçais de toutes mes forces, à en perdre mon souffle, à m'en faire pisser, au début c'était rester bloqué, comme à Valras précédemment, sauf que là j'ai rien lâcher (sauf des gaz et ma transpiration) et si je ne voulais pas avoir une gêne immense, alors je devais mettre le paquet. Et quel paquet... j'avais mis 10 bonnes minutes pour en faire sortir une grosse, bien noir (beurk) et nauséabonde (imaginez une digestion de 5 jours, obtenez le résultat... ) après je me suis sentie mieux.