Dulcolax

Il est 00h04 lorsque je suis prise par des maux de ventres atroces, j'ai les intestins paralysés et je peux plus parler comme il se doit tellement la douleur est intense. Je sort dehors pour me diriger vers les toilettes, entre dans la pièce froide et quitte mon pantalon et mon sous-vêtement, et défèque... longtemps... ça m'a semblé une éternitée, cette torture, ce liquide brun qui sort tel de la lave ou de la peinture, ces flatulences extrêmes... on est loin de celle de ce midi ou je me sentais complètement légère. Là je me vidais les tripes, j'ai cru que mon rectum allais tomber avec tellement c'était puissant, inimaginable. Un monstre... un sale monstre nauséabond qui ne veux qu'une seule chose pour une heure : me détruire le système digestif. Et moi pendant ≈ 3 minutes je suis là, sur la cuvette, entrain de chier l'intégralité de mes boyaux, me vidant jusqu'à la dernière goutte, ou dernière poussée, j'ai eu le droit à un reste... plutôt petit. Un minuscule liquide me chauffe l'orifice et me fait un mal fou, il était court, mais m'a tué le trou.
J'ai enfin fini, euh presque... j'ai encore une douleur au ventre, ça grogne fort et la seule façon de me soulager c'est d'évacuer mes flatulences, alors naturellement je le fait mais ça m'achève, j'ai extrêmement mal. J'arrête donc ce massacre et finira mon pâté dans 1h. Pendant ce temps je prends une dizaine de feuilles roses et tamponne mes arrières, et puis j'y vais de main forte et passe entièrement la feuille entre mon fessier. J'ai fini, je tire la chasse et sort, mon chien se tiens devant la porte, fidèle à lui-même, il m'a accompagné jusqu'à la maison. Quel bon petit chien !